Sunderland Athletic Football Club (SAFC) est un club professionnel de football johoran fondé en 1888 afin que les employés de la concession de Sunderland Inc., entreprise de transport maritime de la Weisshaft, puissent pratiquer un sport en dehors de la période estivale pendant laquelle se pratique le cricket. En novembre 1889, les activités du club sont élargies au-delà des limites de la concession.

Le club adopte le statut professionnel en 1905 et devient un des membres fondateurs de la Football League en 1906. Il remporte son premier championnat en 1907. Après avoir évolué au Priory Park jusqu’en 1895, le club s'installe à Stanley Road. 

En 1900, la filière asiatique de Sunderland crée sa propre équipe de football, Orient FC avec à sa tête un ancien dirigeant de Sunderland, Fergus Alistair Mc Coy.

Cette sécession se traduit alors par le déménagement de Sunderland AFC vers un nouveau stade, Greyhouse Park, en lieu et place de Stanley Road, devenu le stade d’Orient FC.

Les matchs entre les deux clubs sont connus sous le nom de Fergus derby.

En 1906, le président de Sunderland, George Greyhouse-Hilton offre le Greyhouse Shield à l’équipe ayant remporté la coupe.

Les couleurs du club sont traditionnellement le bleu roi et le blanc. 

LE COVID 19 AU SYLVERLAND

Dès les premières rumeurs de la propagation d'une pneumopathie inconnue en Chine, le Sylverland  a réagi rapidement grâce au National Gesundheits Kommando Zentrum (NGKZ).

Dès le 20 janvier 2020, les autorités sylverlandaises ont filtré les personnes en provenance d’Asie dans les aéroports. Peu de temps après, le ministre de la Santé sylverlandaise conseille à la population d'éviter les rassemblements de plus de 10 personnes. Les entreprises qui fabriquent des masques augmentent leur production pour faire face à la demande. Une centaine d'autres mesures dans les domaines de la santé, de l'économie et de la communication ont été prises.

Le Sylverland a dépisté près de 500.000 personnes au total, grâce à 43 « drives » de dépistage éparpillés aux quatre coins du pays. Le personnel médical réalise des écouvillonnages aux gens qui restent dans leur voiture pour éviter tout contact rapproché. Le pays a la capacité de réaliser près de 20.000 tests de dépistage quotidien.

Le dépistage massif semble être une des clés du contrôle réussi de l'épidémie de Covid-19 au Sylverland puisque depuis plusieurs jours le pays décompte moins de 20 cas par jour. 

Mais il y a une autre mesure, plus sensible, prise par le Pays des Forêts : le suivi de la population à travers leur smartphone.

Les personnes en quarantaine sont contactées deux fois par jour pour suivre leur état. De plus, le gouvernement suit à la trace les infectés par leur téléphone et leur carte bancaire et informe les personnes alentour de la présence d'un malade.

Les personnes revenant d'une zone contaminée sont confinées à la maison et leurs déplacements sont suivis via leur smartphone pour s'assurer qu'elles ne quittent pas leur domicile. Et en cas d'infractions, les peines sont lourdes : 3000€ d'amende et 100 jours d'intérêt général en milieu hospitalier. Mais les Sylverlandais étant consciencieux, aucune condamnation n'est à déplorer à ce jour.  

Grâce à toutes ces mesures, seul le championnat de football de première division (Dreizigerleag) a été stoppé, et seulement sous la pression des assurances des clubs et des joueurs. Depuis, les autres disciplines sportives sont toujours actives, mais en huis clos. Les pertes engendrées sont compensées par les droits de diffusion TV de la Dreizigerleag allouées à présent aux autres sports.

Au 4 avril 2020, le Sylverland, où vivent 6 millions de personnes, ne compte que 150 cas de Covid-19 et aucun décès.

La licorne (Equus ferus sylverlandus) est un équidé sauvage européen éteint vers l'an 500. D'après les rares descriptions d'avant l'extinction de l'espèce, il s'agissait d'un petit cheval d'environ 1,50 m, à la robe gris souris.

Il existait deux types de licornes :

la licorne des prairies (Equus ferus graminus), vivant au sud et au nord du Sylverland. Sa corne était torsadée et longue d'une trentaine de centimètres.

la licorne forestière (Equus ferus bergus), d'environ 1,30m au garrot, qui vivait dans les forêts aux abords du Drakenberg. Sa corne était petite (moins de 15 centimètres) et droite.

Les dernières licornes disparaissent au début du VIe siècle, peut-être suite à l'introduction au Sylverland d'un virus équin.

Grise ou alezane, avec parfois des zébrures sur les membres, sa robe blanchissait en hiver. Elle devait être assez résistante au froid.

La licorne était présente sur le sol sylverlandais depuis au moins l'Holocène.

WELCOME TO HELL !

Il y a des équipes dont les supporters font partie intégralement de leur identité : que seraient Liverpool, Arsenal ou le Barça sans le soutien de leurs indéfectibles socios ?

En quelque sorte, les supporters du TMV (les loups) en font partie d'une manière… explosive.

Les vraies stars du hooliganisme sont assurément les supporters du TMV.

Depuis des décennies, le stade de ce club de la banlieue sud de Milburg est le théâtre de rixes vinaigrées aux bourre-pifs et aux coups de boule. Sans aucune contestation possible, ce club est, par l'intermédiaire de son groupe de fan le plus connu, les Wolfwriggens (loups affamés, logo joint), le club le plus chaud au monde. A côté de ces derniers, les Boulogne Boys passent presque pour des maternelles autistes.

Ils ont beau avoir changé de stade en 2011, la devise des supporters reste la même : "Welcome to Hell". Le moins que l'on puisse dire, c'est que les Sylvers respectent leur engagement. Et comme ci cela ne suffisait pas, ils ont aussi inscrit leur nom dans le Guinness Book des records, leur "chant" ayant atteint un volume de 135 décibels en 2012. Ce qui en fait les supporters les plus bruyants de l'histoire. Bon, le vocabulaire est généralement assez rudimentaire : « Juden rauss, fuck negros » et autres joyeusetés.

Les supporters ont l'habitude de mettre la misère à ceux de l'équipe en face, mais il arrive parfois qu'ils se tirent la bourre entre eux, comme en 2007. Deux groupes de hooligans rivaux avaient échangé coup de feu et coups de couteaux, et ce avant même que le match ne débute. A l'été 2012, 25 personnes dont sept agents de sécurité furent blessées dans le classique face au Borussia Milburg, l'ennemi de toujours.

Rares sont les saisons où les amoureux du TMV ne font pas parler d'eux. Au Magyari Stadium, les victimes préférées des Sylvers sont les Anglais (deux supporters de Liverpool y sont poignardés en 2001, tout comme ceux de Middlesbrough en 2006, ou celui de Manchester United l'année suivante). 

Les groupes du TMV, c'est un réseau de têtes brûlées bien rodé qui communique sur internet et via Facebook pour rameuter du monde. Des fans qui ne se privent jamais de s'en prendre aux autorités, aux joueurs et même aux politiciens. En 2006, c'est le pauvre Georg Faulkner, une figure historique du parti travailliste sylver, ancien propriétaire du club du Herta Milburg, qui s'est fait tabasser par des "loups" masqués. Il était juste venu supporter son équipe, l'inconscient…

Et puis je pourrais vous faire remarquer que ces escadrons ne respecte même pas les minutes de silence lors des déplacements, comme en 2012 face à un club belge. Parmi leurs autres exploits, on notera : des fumigènes balancés sur des supporters adverses qui n'avaient absolument rien demandé, des coups de couteau en pleine tête d'un joueur parmesan dans les années 90, ou encore huit morts des suites d'une baston entre hooligans en 2006.

La fédération mondiale du jeu de Breack  a établi le classement Elo du 1er janvier 2019.

TOP 10 

1 Shiji USHINO (JPN)  2871

2 Anton TJUPKIN (RUS) 2861

3 Elena VESNINA (RUS)  2837

4 Jan LUBER (CZE) 2814

5 Patrick HEUBACH (SYL) 2790

6 Alexandr VERSININ (RUS) 2783

7 Hikke MIKKOLA (FIN) 2783

8 Anik KAPROS (HUN) 2781

9 David HIPPE (AUS) 2775

10 Laure SIMUNKOVA (CRO) 2772

LE WOFERSPIEL

est un jeu de dés typique des troquets sylverlandais:

MATERIEL REQUIS

3 dés à six faces.

Des jetons représentant la banque (1, 2 et 5 points). Souvent les joueurs notent simplement les guichets et les banques sur une feuille. 

Au moins 2 jetons représentant les assurances. Il peut y en avoir davantage au cours d'une partie, mais c'est relativement rare et peu utile, les assurances se jouant tactiquement lors de la troisième manche. 

BUT DU JEU

Le but du jeu est de gagner la partie en ayant accumulé le plus de points à la banque.

REGLES

1 La partie se joue en trois manches.

2 Les joueurs jouent chacun leur tour 1, 2 ou 3 dés. La somme des dés est ajoutée au guichet de chaque joueur.

3 Le guichet doit s'approcher au plus près de 50 points.

4 Tout point dépassant 40 au guichet rapporte 1 point à la banque.

5 Si le guichet atteint 50 points exactement, c'est PACTOLE. Le pactole rapporte 20 points à la banque (au lieu des 10 selon la règle 4).

6 Si un joueur dépasse 50 points au guichet, il perd 20 points de banque. Si la banque ne possédait pas 20 points, elle est vidée. Le joueur ayant dépassé 50 points ne joue plus lors de la manche. Toutefois, l'adversaire continue à jouer jusqu'à l'encaisse (cf 7). Si les deux joueurs dépassent les 50 points, la manche est annulée.

7 Au delà de 40 points à son guichet, le joueur peut arrêter la manche : c'est l'ENCAISSE. Chaque joueur encaisse donc à la banque les points de leur guichet respectif dépassant 40.

8 Lors d'un lancer, si les dés sont identiques (cette règle exclut donc le lancer à 1 dé), c'est l'ASSURANCE. Le premier qui tape sur la table l'acquière pour le reste de la partie (à moins qu'il ne la joue, cf 9).

S'il y a litige pour déterminer qui fut le premier à taper, l'assurance revient à celui qui a lancé les dés.

9 A son tour de jouer, un joueur peut avancer son ASSURANCE : il oblige l'adversaire à lancer 3 dés.

10 A chaque nouvelle manche les guichets démarrent à 0.

 LA RACE KALTE

Le Kalte est une race de poney très rustique originaire de Sylverland. Il est de type léger ou lourd.

Son nom lui vient de ses éleveurs, les Kaltes. Du XIIIe siècle au XIXe siècle, il a vécu isolé sur les flancs du Drakenberg. Les premières traces écrites témoignant de l'existence du Kalte datent de 1603. À partir de 1856, il est systématiquement sélectionné pour la cavalerie et reçoit des apports de sang pur-sang arabe. Depuis le début du XXe siècle, il ne ressemble plus au type sauvage d'origine. Ce petit cheval est élevé au Haras de Maritzburg, il a gardé une personnalité de poney malgré les croisements.

Le Kalte toise de 1,32 m à 1,45 m. La tête est courte et triangulaire, surmontée de deux petites oreilles pointues, avec un profil rectiligne et un nez camus. Les yeux sont étroits et le corps trapu. Les crins sont très fournis et les robes les plus communes sont les baie, alezane crins lavés, louvet, pie, isabelle et souris. La robe porte des marques spécifiques : raie de mulet, zébrures sur les membres et croix de saint André sur l'épaule.

Le Kalte est adapté aux conditions de vie de montagne et peut jeûner ou se contenter d'une nourriture très pauvre. Il s'adapte mal à l'enfermement et ne réclame pas de soins particuliers. Tranquille et volontaire, il sert aussi de monture aux enfants.

D'un caractère facile, le Kalte s'adapte à tous les usages de la vie en montagne. Résistant et robuste, il sert encore de cheval de travail dans quelques fermes. Monté, c'est un cheval de loisir au pied sûr.

Il n'y a que 800 poulinières Kalte agréées dans le monde, ce qui en fait un cheval menacé de disparition. La Fondation sylverlandaise du Kalte (KSF) a été créée en avril 2008 afin de de promouvoir la race et de conserver le patrimoine génétique. La KSF œuvre aussi pour la reconnaissance de la race par les Haras nationaux.

PARTIES D'ECHECS GEANTES !  

La ville de Holmus (Hedd Konig) organise chaque année une partie d'échecs sur la place publique, avec des personnages vivants costumés qui tiennent lieu de pièces. Cette coutume remontre à 1660. Deux gentilshommes férus d'échecs, Massimilian Brzenska et Hans Salz, étaient tous deux amoureux de Leonora, fille du seigneur de Holmus. Ils voulaient s'affronter en duel. Mais le pacifique seigneur leur proposa de s'affronter plutôt au jeu d'échecs. La place publique dallée de pierres alternativement noires et bistres tenait lieu d'échiquier. Le gagnant épousa Leonora; le perdant, sa sœur cadette. Le spectacle se déroule au mois de septembre avec 550 figurants. 

La célèbre partie entre Brzenska et Salz a été conservée. 

1. e4 d5 2. exd5 Dxd5 3. Cc3 Da5 4. d4 c6 5. Cf3 Fg4 6. Ff4 e6 7. h3 Fxf3 8. Dxf3 Fb4 9. Fe2 Cd7 10. a3 0-0-0??

Les noirs croient que 11.axb4 est hors de question. Cela serait le cas s'ils avaient joué non pas 10...0-0-0, mais bien 10... Cgf6. 

Les blancs, voyant plus loin et s'appuyant sur leur excellente position offensive, ont une surprenante et explosive suite. 

11.axb4‼ Dxa1+ 

12.Rd2! Dxh1 

(12... Ce5 13. Fxe5 Dxh1 14. Dxf7 Ce7 15. Dxe6+! Td7 16. Fg4 Thd8 17. Dd6! qui force le mat) 

13. Dxc6+! bxc6 14. Fa6# 1-0

 UNE SYLVERLANDAISE AUX STATES

Jennifer Thielke est une ancienne joueuse de football sylverlandaise, née le 18 janvier 1973 à Arendahl.

Elle joua pour Effenborg FC et devint la première footballeuse sylverlandaise à évoluer à l'étranger en rejoignant en 2008 le club américain de Western New York Flash où elle resta deux ans.

Elle compte 89 sélections en équipe de Sylverland de 1997 à 2008. Elle occupe actuellement le poste de sélectionneur de l'équipe nationale féminine sylverlandaise de football.

 LES ORIGINES DES SYLVERLANDAIS 

Une recherche sur le génome mitochondrial au Sylverland a révélé en 2004 les origines des Sylverlandais. La souche germanique étant fortement représentée, l'hypothèse historique d'une installation primitive et massive de Germains est confortée par la science. 

Résultats complets : 

Germains 37% 

Slaves 10% 

Flamands 9% 

Scandinaves 9% 

Anglais, Ecossais, Irlandais 7% 

Russes 8% 

Polonais 7% 

Finlandais 5% 

Hongrois 4% 

Autres 4%

 LA CROIX DE SAINT MARTIN DE SYLVERLAND

Rainer Urs VAN EVANS, Joakim CENTAURIUS, Ulrich ABT, Cecil DAIMLER, Ruud STELLENS, Christian HEBNER, Mark ALTONBERGER, Mathias RENTFELDER, Tom HASMANN, Philip DE KOCK, Karl VON DER MOOS, Erwin KLEIST, Kurt Land VON HESLING, Jens KENTELAARS, Andreas BRAUNSCHWEIGER, Chris VAN HORN, Serguei OLEGSHENKO, Bram VAN HERZOG, Martin ZEIDEL, Karl Heinz MOSER, Szabo BREITMAN, Lubos BALAJI et Milos KUNDARI sont les seuls joueurs de football en activité à avoir obtenu la Croix de Saint Martin de Sylverland, en raison de leur victoire à la coupe du monde 2014.

 L'OURS DE DENINGER

 Des ossements fossiles d'un ours de Deninger (Ursus deningeri) ont été retrouvés en 2014 dans la région du Bokkensee, ce qui conforte la thèse que le Sylverland était alors rattaché au continent par une grande plaine herbeuse. 

L'ours de Deninger est une espèce éteinte d'ours. Il vivait en Europe pendant le pléistocène. Ce grand ours apparaît vers 1 million d’années, il est l’ancêtre de l’ours des cavernes qui le remplace, il y a 200 000 ans. 

Il était présent en Europe. On a retrouvé des ossements en Bulgarie et de la Grèce à l'Espagne en passant par l'Angleterre et la France. Sa taille est similaire à l'ours polaire actuel.

 HOEKK, L'ILE DU ROI PETER 

Hoekk (prononcer « ouk ») est l'île la plus méridionale du comté de Liechtenburg und Rinkby et est séparée de l'île de Rinkby située au nord par le détroit de Hoekk L'île, de forme allongée et orientée dans le sens est-ouest, est un promontoire fortement inclinée de la côte Nord jusqu'à la côte Sud qui plonge dans la mer sous la forme de hautes falaises. Le point culminant de l'île est le Ballagun qui atteint 193 mètres d'altitude. 

Hoekk est incluse avec les îlots proches dans une zone de protection spéciale en raison de sa végétation composée de prairies et landes ainsi que des nombreux oiseaux de mer qui y nidifient comme des alcinés (petits pingouins et macareux moines), des guillemots, des mouettes, des cormorans huppés et des goélands. 

Outre le phare, les seules constructions de l'île sont un quai d'accostage sur la côte Nord, deux duns et des murs en pierre. 

Les deux duns datent du IIe ou IIIe siècle, mais une légende de marins en a fait la demeure d'un souverain de Hoekk, le roi Peter. 

Le dramaturge écossais James Matthew Barrie aurait visité cette île et entendu la légende. Il s'en serait partiellement inspiré pour écrire "Peter Pan". 

C'est la seule île inhabitée de Sylverland.

 2008:  L'EURO A LA MAISON

L'édition 2008 du championnat d'Europe de football s'est disputée du 7 au 29 juin 2008 au Sylverland et au Liechtenburg. 

Le Liechtenburg participe pour la première fois à une phase finale d'une compétition internationale.

Le champion sortant, la Grèce, a remis son titre en jeu face à quinze autres nations, dont les deux pays organisateurs. Il s'agissait de la 13e édition du championnat d'Europe de football. Elle a été remportée par l'Espagne, vainqueur de la finale 1 à 0 contre le Sylverland.

RESULTATS 

Liechtenburg-République tchèque 0-1 

Liechtenburg-Turquie 1-2 

Liechtenburg-Portugal 2-0

1 Portugal 6 (+2) 

2 Turquie 6 (0) 

3 République tchèque 3 (-2) 

4 Liechtenburg 3 (0) 

Sylverland-Pologne 2-0 

Sylverland-Croatie 1-2 

Sylverland-Autriche 1-0 

1 Croatie 9 (+3) 

2 Sylverland 6 (+2) 

3 Autriche 1 (-2) 

4 Pologne 1 (-3) 

Quart de finale : Sylverland-Portugal 3-2 

Demi-finale : Sylverland-Turquie 3-2 

Finale : Sylverland-Espagne 0-1

 LA FULGRE 

(fulgre archaïque et moderne) 

La fulgre (du latin fulgura, en sylver fulga) est un diacritique autrefois utilisé en sylver et représenté par le symbole de la foudre.La fulgre résulte de la combinaison de deux autres diacritiques rarement utilisés en sylver, l’accent aigu et le tréma. Dans l'écriture sylver, la fulgre marque un tonème de registre très haut. On le place sur n’importe quel symbole vocalique ou consonantique vocalisé.

Même si l’accent aigu et le tréma sur les voyelles a, e, i, o, u existait déjà au XVe siècle, la marque de certaines syllabes n’y était pas encore indiquée. La fulgre a été introduit au XVIIIe siècle mais les premières formes apparaissent dès le IXe siècle. 

Depuis la fin des années 1980, la fulgre a pratiquement disparu des textes.

LA BIERE DES BRAVES

La région d'origine de la bière blanche nationale sylverlandaise Esben est Neumunchen et ses alentours, qui s'était fait un nom concernant la production d'une bière buvable vers le XIVe siècle. Des moines étaient à l'origine de l'utilisation de coriandre pour affiner la bière. Après avoir presque disparu du marché dans les années cinquante, victime de de son goût épicé qui la fit surnommer "bière des braves", elle connut un regain de notoriété dans le milieu estudiantin à partir du début des années 1980, avec une méthode de fermentation plus douce.

C'est une bière de fermentation haute contenant du froment non malté, non filtrées ce qui leur donne cet aspect laiteux qui est à l'origine de son nom (esben signifie nuage). De nos jours, la levure utilisée est la Saccharomyces cerevisiae.

UN TUEUR EN SERIE AU SYLVERLAND   

Thomas Erik Kuyn (1816-1876) est le plus célèbre tueur en série sylverlandais. Il vécut à Lehnem, dans le Waistland.

Cet aubergiste a assassiné entre neuf et dix-huit personnes, des voyageurs de passage pour la plupart. Certains cadavres auraient été cachés dans son étable, dans la ferme de Lehnem.

Il aurait peut-être pratiqué le cannibalisme sur au moins deux de ses victimes.

Il fut arrêté et condamné en 1876. Lors de son procès, il affirma être Jésus-Christ venu punir l'Humanité. La défense demanda l'internement pour démence, mais le jury le condamna à la pendaison. 

A la sortie du tribunal Kuyn s'évada et trouva refuge dans une cave. La population le trouva, lui brisa les jambes avant de le décapiter, pour ensuite disperser les parties de sa dépouille dans le fleuve Notra. Aucun de ses tortionnaires ne fut inquiété par la justice.

Un film retrace cette histoire, "La ferme de Lehnem" réalisé par la réalisatrice sylverlandaise Greta Milovanovic (1998) et inspira la nouvelle "Qui es-tu Jack?" écrit par le nouvelliste N S Pilchard (2010). 

L'AIGLE DU SYLVERLAND

 L'Aigle aigré (Stephanoaetus egrettus) est une des rares espèces endémiques du Sylverland. 

Ce grand aigle à la puissante stature et au bec fort, présente une aigrette souvent assez discrète et des pattes emplumées pourvues de grosses serres. Les sexes sont assez similaires bien que la femelle affiche des ornements différents sur le dessous des ailes et une taille plus importante (environ 10% plus grande). Elle possède également une crête plus courte. Les juvéniles passent par des stades intermédiaires avant d'acquérir leur plumage définitif au début de la sixième année.  

Chez les adultes, les parties supérieures sont noir-ardoise, excepté la tête et les taches des ailes qui sont plus brunes. La queue porte 2 évidentes bandes grises qui alternent avec 2 barres noires égales. Une bande subterminale encore plus large précède une fine pointe blanche. Les parties inférieures varient du crème (majotitaire chez les mâles) au roux (majoritaire chez les femelles), mais il peut y avoir des teintes intermédiaires de chamois brillant, la poitrine étant parsemée d'abondantes taches noires hormis sur le centre qui est blanc. L'abdomen est nettement barré de noir, ce caractère étant plus visible chez les femelles. Les pattes blanches sont recouvertes de petites taches.  

Les juvéniles sont différents. Ils ont un dessus gris-brun et les plumes des parties supérieures ont des liserés blanchâtres qui donnent à cette partie du corps un aspect écailleux, surtout visible sur les couvertures. La queue porte 4 bandes. La tête et le dessous sont entièrement blancs, excepté des mouchetures grises sur la nuque et sur les pattes. A l'envol, les oisillons ont un léger lavis roux sur la poitrine. A la première mue qui intervient au bout de 6 mois, de petite taches noires apparaissent sur la poitrine.

Les aigles aigrés sont des oiseaux très bruyants et on peut les entendre pendant tous les mois de l'année.   

Ces grands rapaces occupent des habitats qui s'étendent du niveau de la mer au moins jusqu'à 3000 mètres d'altitude.  

Les aigles aigrés vivent en solitaire ou en couples. La ponte comprend 1 ou 2 œufs qui sont couvés entre 48 et 51 jours. L'envol des jeunes s'effectue habituellement au bout de 110 à 115 jours. 

Les aigles aigrés consomment surtout des mammifères. Ils capturent aussi parfois des oiseaux, des reptiles mais rarement des charognes.  

 LE PREMIER CLUB DE FOOTBALL AU SYLVERLAND

Le Deutsch Football Club Germania 1886 Milburg est officiellement le premier club de football créé au Sylverland.

Des équipes furent formées avant le DFC Germania, comme Arendahl Cricket-Club 1883 ou Britania FC Offenburg 1885 mais elles s’occupèrent d’abord de Cricket, de Rugby à XV ou d’Athlétisme.

Le DFC Germania 1886 a été créé le 15 avril 1886 à l’instigation de Paul Ankham, de ses trois frères et de plusieurs de leurs condisciples d’école de l’Arcadia Gymnasium, une institution juive.

À cette époque, le football n’est pas encore très connu au Sylverland. Les premières rencontres jouées à Milburg le furent entre équipes locales composées d’Anglais expatriés, durant l’hiver 1881-82.

Aucun terrain n’existait, ainsi le DFC Germania joua sur un site qui devint plus tard l’aéroport de Marinken.

En novembre 1890, le BFC Germania 1886 fut un des fondateurs de la première ligue de football au Sylverland, la Sylver Footballers League. Elle fut composée de club milbourgeois: DFC Vorwärts, FC Askania, Borussia 1890, Concordia, Hellas, Tasmania et le Teutonia.     

Le Germania 1886 remporta un premier tournoi organisé par la ligue. Comme celle-ci était la seule existante, le club se déclara premier champion du Sylverland. Ce titre n'est pas reconnu par les instances de la fédération sylverlandaise de football.

La SFL connu de nombreux désaccords entre ses membres. Les principaux litiges concernaient essentiellement l’emploi ou non de joueurs étrangers, et les transferts de joueurs entre les équipes.

En 1921, Germania fusionna avec le Borussia 07 (le Borussia 1890 a disparu en 1900).

Depuis 2007 une section amateur Germania a été créée, parrainée par le club professionnel du Borussia Milburg. Sa section féminine joue en première division depuis 2012.

LA PREMIERE ASCENSION DU SPITZDRAKENBERG

Mario Kenteric (né en 1762 vallée de Brientz - mort en 1834 vallée de Dreuzen), chasseur de bouquetins et guide réussit la première ascension du Spitzdrakenberg en compagnie du Docteur Schengl, le 8 août 1783. 

Mario Kenteric acquiert une grande robustesse et une parfaite connaissance de la montagne en pratiquant la chasse aux bouquetins, avant de devenir l'un des compétiteurs lancés à la conquête du Spitzdrakenberg. Cette compétition était de plus motivée par une promesse de forte récompense, faite dès 1760 par Horace-Bénédict von Hinteris, au premier qui atteindrait le sommet. Kenteric entreprend une infructueuse tentative solitaire début juillet 1783 et apprend à son retour que cinq guides sont partis en direction du sommet. Il repart presque aussitôt et les rattrape à hauteur des Grands Vents. Au col du Zeiss, alors que ses compagnons renoncent, il poursuit seul et après un bivouac improvisé, il redescend à son tour, persuadé que la cime du Spitzdrakenberg ainsi que la récompense sont désormais à portée. Il cherche immédiatement un compagnon d'ascension qui puisse ensuite témoigner en cas de réussite. 

Pour sa troisième tentative, Kenteric sollicite le docteur Schengl, médecin à Brientz et bon alpiniste qui avait pris part lui aussi à plusieurs tentatives. Les deux hommes partent discrètement le 7 août et bivouaquent avant de se lancer à l'assaut du sommet le 8 août à l'aube, sans cordes, sans piolets ni crampons, par un itinéraire dangereux qui sera abandonné en 1820. Schengl est rendu aveugle par la réverbération de la neige et fait toute la descente les yeux rouges et fermés. En arrivant dans la vallée, les deux hommes apprennent que Eva, la dernière fille de Mario Kenteric nouvellement née et soignée par le Docteur Schengl, est décédée. Kenteric se rend ensuite à Arendahl pour rendre compte à M. von Hinteris de son succès.

Kenteric répète l'ascension du Spitzdrakenberg le 5 juillet 1784 en compagnie de deux autres guides et le 3 août de la même année il conduit Horace-Bénédict von Hinteris au sommet ; la cordée comporte alors 17 autres guides ainsi qu'un domestique. Horace-Bénédict von Hinteris procède alors au premier calcul de l'altitude du Spitzdrakenberg. En juillet 1811, lors de la dixième ascension, il est accompagné de Maria Frauer qui devient la première femme à atteindre le sommet enneigé. Kenteric gravit une dernière fois le Spitzdrakenberg le 4 août 1817. 

Le guide disparaît en 1834 à l'âge de 72 ans en tombant dans une crevasse alors qu'il cherche un filon d'or. Son corps n'a pas été retrouvé.

L'ORIGINE DU DIABLING EGERSUND

La légende voudrait que le diable soit à l'origine du nom du club de football professionnel d'Egersund. 

Pourtant le Diabling Egersund tire son nom du club de nautisme local qui fut créé en 1890.

Sa section football vit le jour en 1910.

Le diabling est un voilier typique du Sylverland et fut même le premier voilier monotype olympique sous le nom « dinghy International 12' ». 

Traditionnellement, la proue est taillée en forme de tête de dragon (diabling en walst), qui évoque son origine viking. 

Dériveur léger de 12 pouces, gréé en catboat, muni d'une voile au tiers à bôme, très proche d'un gréement houari, il est encore pratiqué comme bateau de compétition et attire les amateurs de gréements traditionnels. 

Ce bateau est suffisamment rapide, solide et pratique pour être utilisé comme annexe, petit canot à rame ou à moteur et comme voilier de régate.