• LES FLEUVES  

     Six fleuves coulent sur territoire sylverlandais:

    Le Luleaven (Hedd Konig)

    Le Fyrisan (Hedd Konig)

    L'Erft (Konigsberg)

    Le Jalaskoji (Kristianborg)

    La Wied (Skaldmark, Niederland)

    La Notra (Kristianborg, Waistland)

     

     

     


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  • LE BOKKENSEE 

     

    Le Bokkensee est le plus important lac sylverlandais, avec 140 km de pourtour et 146 km2 de superficie. Il est situé au Skaldmark.

    Longueur : 46 km

    Largeur  : 4,5 km 

    Altitude  : 198 m 

    Profondeur maximale : 410m 

    Profondeur moyenne : 154 m 

    Volume : 22,5 km3 

    Alimentation : Luto, Ilmenau, Kinzig 

    Émissaire : Kinzig 

    Durée de rétention : 4,5 années 

    Île principale : île St Osgryth

     

    Le nom vient certainement de bookken, une mesure de brassage de la bière près d'Odenwald (see signifie lac). 

    Ses rives sont le lieu de villégiature par excellence des aristocrates, artistes et écrivains depuis de nombreuses générations.

    La circulation régulière sur le Bokkensee est assurée par la Compagnie publique de Navigation qui transporte les passagers dans les nombreuses villes côtières. Les plus anciens bateaux ont été mis à l'eau en 1904 et les plus récents dans les années 2000. 

    Les plus lents circulent à 24 km/h et les plus rapides à 64 km/h (2 hydroglisseurs). 

    Au centre du lac, des ferrys assurent des rotations fréquentes entre Odenwald, Oberhausen, Havel et Bernkastel.

     


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  •  LE GOTTERFALL

    Le Gotterfall est la chute la plus célèbre du Sylverland. Elle est localisée dans la région de Mytavn, sur le fleuve Jalaskoji et fait 12 mètres de hauteur sur 30 mètres de largeur. 

     Vers l'an 1060, l'assemblée sylverlandaise adopte le christianisme. Les oripeaux de l'ancienne religion nordique sont jetés dans cette chute. Le nom Gotterfall signifie « la chute des dieux » en souvenir de cet événement. 

    Le Gotterfall a donné son nom au premier opéra du compositeur sylverlandais Georg Orban Goss (1815-1895), ainsi qu'à une expression : chercher quelque chose dans le Gotterfall (équivalent de chercher une aiguille dans une botte de foin).

     


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  • LE SPITZDRAKENBERG 

     

    Le Spitzdrakenberg dans le massif du Goar, est le point culminant de la chaîne du Sylverland. Avec une altitude de 3612 mètres, il est le second plus haut sommet d'Europe occidentale après le Mont Blanc.

    Le sommet a depuis plusieurs siècles représenté un objectif pour toutes sortes d'aventuriers, depuis sa première ascension en 1783. De nombreux itinéraires fréquentés permettent aujourd'hui de le gravir avec une préparation sérieuse. Il est un objet de fascination dans de nombreuses œuvres culturelles. 

    La première mention du « Spitzdrakenberg » daterait de 1685, avec la première mesure géodésique par le géomètre et astronome écossais Nicholas Cochrane, qui donne un calcul de l'altitude de la montagne. Toutefois, il utilise l'oronyme « montagne Effrayante » 

    Le sommet n'est jamais clairement nommé dans les différents écrits ou cartes des XVIe et XVIIe siècles. On trouve parfois la mention « les Glacières » localisant l'ensemble de la montagne. L'oronyme de la montagne devient « Spitzdrakenberg » sur les cartes dressées en 1742. 

    Selon la légende, en des temps très anciens, le massif était beaucoup plus verdoyant et l'on pouvait y mener faire paître les bêtes, mais les dragons des glaces auraient envahi les hauteurs, repoussant sans cesse leur territoire jusqu'au fond de la vallée.

    Toujours selon la légende, un royaume enchanté existait au sommet du Spitzdrakenberg, la Dame aux dragons y demeurait parmi les fleurs dans des prés verdoyants et y filait la trame du destin des habitants de la vallée. Dans les croyances antiques, les entités divines trônant au sommet des montagnes doivent être respectées et vénérées ; les sommets émettent une sorte de rayonnement, une force surnaturelle, qui guide les hommes à leur insu et dont l'influence peut être bonne ou mauvaise selon les cas. Avec le christianisme, ces divinités furent désormais présentées comme des êtres invisibles hostiles, empêchant les hommes de déployer leurs activités agricoles ou industrielles et donc assimilables à des bêtes immondes. Etant en conflit latent pendant des générations avec les vickings danois, dont la figure emblématique est le dragon, l'assimilation avec la montagne se fit naturellement. 

    Le voyageur anglais Willian Windham (1717-1761), déjà renommé pour ses expéditions en Égypte et en Orient, a organisé lors de l'été 1747, une véritable expédition de découverte de la vallée de Brientz. Conseillé par les bergers qui croyaient cette vallée hostile et maudite, sa caravane était inutilement surarmée. Arrivé à Brientz, il s'est émerveillé des aiguilles qui dominent la vallée et des précipices « affreux » qui lui paraissaient susceptibles d'épouvanter les âmes les plus fermes. Il a aussi rapporté quelques anecdotes recueillies auprès des populations locales : les glaciers ont beaucoup crû lors des époques récentes mais dans les temps anciens un passage libre existait jusqu'à la vallée de Saint Goar, de plus, la nuit, sur les glaciers, ont lieu des fêtes de sorciers dansant au son des instruments. 

    Avec le rationalisme de la fin du XVIIIe siècle et le matérialisme triomphant du XIXe siècle, portés par les protestants sylverlandais et anglais, la montagne devait désormais être dominée intellectuellement, en acquérant sur elle des connaissances précises, et physiquement, en la gravissant. Il fallait percer les légendes et en tirer des explications naturelles. 

    Au delà de 2800 m, les conditions météorologiques peuvent changer très rapidement (neige, brouillard).

    Au sommet, la vitesse du vent peut atteindre 150 km/h et la température −40 °C. Le vent renforce l'effet de froid (refroidissement éolien) : la température apparente chute de 10 °C tous les 15 km/h de vent. Il peut contribuer à lui seul à l'échec d'une ascension, même par des professionnels. 

    À partir de 3200 m environ, toutes les précipitations se font sous forme de neige. Ces dernières sont plus conséquentes en été qu'en hiver, du fait que l'air froid ne contient pas beaucoup d'humidité. 

    Le sommet peut connaître quelques journées de dégel dans l'année, notamment entre juillet et septembre, où la température maximale peut atteindre 3 °C.  

    Les névés persistent au-delà de 2 800 mètres d'altitude. Les premières pentes du Spitzdrakenberg se situant vers 3 200 mètres, elles se trouvent donc au-delà de la limite de l'étage nival. Le manteau neigeux important et les conditions climatiques extrêmes rendent les conditions de vie des espèces végétales et animales presque impossibles. 

    Pourtant, aux altitudes les plus basses ou dans les creux de falaises abrités, certaines plantes arrivent à subsister comme la ronce des glaciers. Cependant, la flore se limite essentiellement à des mousses et lichens.

    Les mammifères ne peuvent pas vivre dans les conditions décrites, contrairement à certaines espèces d'oiseaux : ripères à bec bleu, lavorètes et autres aigles aigrés.


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    Le cadre naturel 

    L'île est composée de roches volcaniques, principalement basaltiques, qui offrent la vision de vastes plateaux faits d'empilement de laves, situés à environ 400 m au centre et à plus de 700 m sur les plateaux des Heddlands (Hedd Konig). 

    La végétation de l'île, soumise à un climat frais, a été forestière, mais l'action de l'homme explique que la forêt recule (exploitation et surpâturage).

      

     


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